Les filles sont partout dans ce roman.
Elles mènent la danse.
De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres ou à Miami.
Des filles qui inventent, s'enflamment, aiment.
Des filles qui se battent pour la vie.
Et les hommes ? Ils sont là aussi.
Mais ce sont les muchachas qui dansent, dansent, dansent.
Elles font voler les destins en éclats.
Et ça n'en finit pas !
Après sa trilogie aux 6 millions de livres vendus, Katherine Pancol offre cette année à ses lecteurs une nouvelle histoire en trois tomes.
Muchachas lance cette nouvelle trilogie et offre une vision uniquement féminine (ou presque) de l'histoire.... Bien qu'il s'agisse d'une histoire indépendante de la précédente trilogie, nous retrouvons la pétillante famille Cortés et démarrons avec Hortense et une première phrase qui peut prêter à sourire mais qui, finalement, donne le ton :
"- Que les gens sont laids ! [...]"
Et si, Hortense dans toute sa futilité ne pense qu'à leur aspect physique, Katherine Pancol décide finalement de traiter de la laideur intérieure puisque, doucement, au fil des chapitres et de la découverte des nouveaux personnages, un thème très sérieux et noir se découvre.
Sous cette couverture drôle, enfantine et acidulée, se cache le récit familial d'une nouvelle héroïne : Stella...
Et pas de futilité à la Hortense Cortès dans la vie de Stella... Celle-ci vit à la campagne, seule avec son fils, et travaille pour un revendeur de ferraille. Toute sa vie, elle aura vu sa mère souffrir physiquement et moralement du despotisme de son époux.
Jusqu'au jour où Stella va dire stop... Et va décider de lutter.
Si, sous cette couverture fraîche, sympathique et pétillante se cache une histoire de violences conjugales, c'est avant tout le récit de Muchachas qui finissent pas prendre leur destin en main.
Katherine Pancol offre ici à ses lecteurs un joli premier tome au rythme enlevé, aux phrases drôles et aux personnages attachants comme elle sait si bien le faire...
Il nous faudra maintenant attendre le mois d'avril puis le mois de juin pour découvrir la suite !
